Fitch Bennett Partners

Les tendances du recrutement du 1er semestre 2022

Les tendances du recrutement du 1er semestre 2022

Analyse des tendances du recrutement. Le second trimestre 2022 confirme notre analyse des perspectives d’embauche des entreprises dans un contexte volatile, incertain, complexe et ambigu (VICA). Une nouvelle rassurante. La note de conjoncture de la Banque de France réalisée auprès de 8500 chefs d’entreprise vient conforter ces perspectives. L’activité après avoir progressé en avril et mai a résisté au mois de juin. La Banque de France confirme la hausse prévisionnelle du PIB français de 2,3 % sur l’année. Les prévisions d’embauche des entreprises se maintiennent donc à un niveau global élevé par rapport aux années précédentes. Soulignons toute fois l’infléchissement des grandes entreprises dans les intentions de recrutement à fin juin. Tendances du recrutement : un marché dynamique en France comme à l’international Une forte majorité de nos clients poursuivent leurs investissements en recrutement d’hommes et de femmes de talent. Ainsi, ils espèrent améliorer la performance de leurs organisations dans un environnement complexe et relever les nouveaux défis humains, sociétaux et technologiques. Les missions de recrutement en France et à l’international (Europe, Royaume-Uni et Amérique du Nord) ont donc été soutenues sur des directions de « business development », du management des opérations et d’experts dans tous les secteurs d’activité. Le management de transition s’est également bien porté, orienté sur la conduite de projets opérationnels et le management relais. Plusieurs priorités vont maintenir la dynamique du marché du recrutement et de la gestion des talents tant sur le plan national qu’international sur ce second semestre : Rétention des managers les plus performants, formation au leadership et aux nouvelles pratiques managériales, recrutement de nouveaux leaders et d’experts, développement des jeunes talents et renfort des équipes opérationnelles par la mise à disposition de managers de transition expérimentés. Des difficultés de recrutement croissantes dans les Entreprises L’enquête de la Banque de France identifiait au printemps 2021 seulement 37% des dirigeants confrontés à ce problème. En Juin 2022, on relève le plus haut niveau jamais atteint avec une augmentation de 21 points. Les entreprises interrogées sont 58% à être concernées. Si tous les secteurs d’activité sont touchés, les difficultés de recrutement progressent davantage dans les secteurs de l’Industrie, du Bâtiment et du Conseil. Le second semestre sera riche d’enseignements sur l’évolution de la dynamique du marché de l’emploi. Ce dernier risque d’être notamment impacté par les fortes attentes salariales, un turnover plus important que les années passées, des secteurs à forte carence avec une mauvaise adaptabilité de l’offre et de la demande et l’impact des Papy-Boomers. Les attentes des Entreprises dans ce contexte inédit Les Dirigeants expriment les priorités suivantes dans le management de leurs organisations dans l’environnement actuel : La gestion des talents, enjeu majeur sur un marché en tension. La création de postes en RSE, engagement contribuant à part entière à la valorisation de son entreprise. La volonté de doter son entreprise des meilleures compétences dans chaque métier en France comme à l’international. L’amélioration permanente de la performance collective de ses équipes et de l’efficacité de son organisation. La poursuite de la transformation digitale avec les bonnes expertises. La plus-value d’un cabinet d’Executive Search comme FITCH BENNETT Partners et de son réseau international prend ici toute sa dimension. Il permet de conseiller et accompagner les entreprises à relever ces enjeux clés dans les domaines du recrutement et de la gestion des talents.

Du CEO débordé au Slow Leadership

Du CEO débordé au Slow Leadership

  Du CEO débordé au Slow Leadership, la manière de gérer des situations issues d’un environnement en crise.   Partenaire des entreprises dans le secteur de la recherche et le coaching de leurs collaborateurs, Fitch Bennett Partners, s’est penché sur le concept du Slow Leadership en rencontrant Murielle Machiels. Cette ex CEO débordée est maintenant adepte et formatrice au Slow Leadership. Lorsqu’elle fut nommée CEO d’une société dans le secteur des médias, elle savait que l’entreprise était en perte de vitesse, face à une digitalisation galopante et à des actionnaires soucieux de vendre rapidement à un prix acceptable.   La première réaction de Murielle Machiels fut assez classique, même si exigeante : créer une stratégie digitale, adaptater l’organigramme, faire la chasse aux coûts et imaginer le lancement de nouveaux produits, le tout à un rythme effréné qu’elle s’est imposée en entrainant ses équipes dans la même chevauchée. Résultat ? Croissance du chiffre d’affaires, mais aussi faible réduction des coûts, augmentation de l’absentéisme et apparition des burn-outs. Elle-même sentait de fortes douleurs dans son corps, épuisée par l’énergie exigée.   De nouvelles pratiques au service du Slow Management…   L’échec n’était pas une solution, elle avait été engagée pour réussir. Alors Murielle décida de prendre une autre route, celle du Slow Leadership. Elle suivi alors des formations de coaching ontologique (cerveau, émotion et corps) complétées par d’autres formations. Elle s’appliqua à suivre ces nouvelles pratiques, puis à motiver ses équipes à les suivre. Avec succès, d’un côté les chiffres des marges progressaient, mais aussi le taux d’absentéisme et les burn-outs ont fortement chuté.   Fitch Bennett Partners, dont le logo intègre les mots « Happy People, Happy Company » s’est intéressé à mieux comprendre… et Murielle nous a confié : la méthode consiste à ralentir, organiser des pauses régulières pour gérer l’état mental avant chaque action, d’être créatif avant d’être opérationnel, de gérer son énergie et ses craintes, de lâcher du lest pour pouvoir se concentrer, de faire confiance plutôt que contrôler, de déléguer (empower) plutôt que prendre en main et de créer un environnement où chacun peut s’épanouir.   Trop beau pour être vrai ? Murielle a quitté l’entreprise après la vente pour lancer son projet de formation (QiLeader.com). Plus de 1000 cadres ont suivi cette formation à la demande des entreprises, dont certaines sont également clientes de Fitch Bennett Partners. Cette pratique contribue notamment à attirer les meilleurs candidats.   Jean-Paul BissenManaging Partner Benelux    

Féminisation des boards : vers une meilleure égalité professionnelle hommes/femmes dans les conseils d’administration en France ?

Féminisation des boards : vers une meilleure égalité professionnelle hommes/femmes dans les conseils d’administration en France ? Féminisation des Boards : à améliorer au sein des comités de direction et des comités exécutifs

En 2022, les postes à responsabilités sont-ils encore confiés en fonction du genre des candidats ? Pas si sûr ! Une amélioration de l’égalité professionnelle s’est nettement dessinée dans les conseils d’administration depuis 2011, avec la promulgation de la loi Copé-Zimmerman. Mais, malgré cet équilibrage des quotas, la féminisation des emplois peut encore être améliorée, surtout au sein des comités de direction et des comités exécutifs… Notamment grâce à l’accompagnement et les conseils de cabinets de recrutement par approche directe. Dans les années 1960, les Écoles Supérieures de Commerces étaient composées très largement d’hommes. Historiquement, un public relativement privilégié pouvait entrer dans les écoles de commerces et d’ingénieurs. C’est à partir des années 1970 que la part des femmes atteint presque celle de la proportion d’hommes. Depuis, les lois sur ce sujet de la discrimination des femmes à l’embauche ont été instaurées. Par exemple, en 2011, la loi Copé-Zimmermann venait propulser la féminisation des emplois par la mise en place de quotas dans les conseils d’administration et de surveillance. Objectif : augmenter la parité dans les postes à hautes responsabilités et résorber l’inégalité de traitement salarial dans les organisations. “Grâce aux quotas de femmes instaurés pour les conseils d’administration et de surveillance, le succès est au rendez-vous pour les grandes entreprises cotées du CAC 40 (44,6 %) et du SBF120 (43,6 %). Et en dix ans, la progression est spectaculaire pour les entreprises du CAC 40 : en 2009, 10 % et 2019, 44 % ”, relève le rapport du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes (HCE), publié en 2019. Nous pouvons noter une amélioration continue de la féminisation des boards, pour atteindre presque la parité en 2019. Dix ans plus tard, la loi Copé-Zimmermann avait été félicitée par le Ministère du travail. Les résultats sont là : la France a glissé en première place du podium au sein de l’Union européenne. Qu’en est-il des comex ? La mixité est en place mais ne va pas au même rythme dans tous les secteurs. Ce que nous analysons, c’est que les femmes sont plus souvent inscrites dans les fonctions dites “supports”, telles que le marketing & la communication, le juridique ou encore les ressources humaines. Elles sont sous-représentées dans les postes financiers ou commerciaux. Plus récemment, la loi “Rixain”, adoptée en 2021 et entrée en vigueur en mars 2022, devrait pousser les entreprises à aller encore plus loin. Elle permet de mettre en place plusieurs mesures, dont le respect d’une répartition équilibrée des hommes et des femmes parmi leurs cadres dirigeants. En effet, un quota de 30% aux postes de direction doit être appliqué à partir de mars 2026. Le taux augmentera jusqu’à 40%, en 2029. Elles seraient aujourd’hui, seulement 24% dans l’ensemble des COMEX des entreprises du SBF120.  Pour 2/3 des CEOs, le développement des compétences en Leadership est leur priorité N°1 pour leurs Ressources Humaines. Faire émerger les futurs leaders de demain et les fidéliser est un enjeu clé pour les entreprises. Cette priorité vient renforcer la dynamique amorcée ces dernières années vers un meilleur équilibre au sein des comex entre les hommes et les femmes. Féminisation des boards mais à certaines conditions L’enjeu est de préserver les meilleurs profils, tant féminins que masculins. Le problème étant que les femmes ont été longtemps pénalisées. Entre inégalité salariale ou maternalité pénalisante, nombreuses sont les femmes qui ne se sont pas senties intégrées. Dès lors, elles ont préféré quitter leur travail pour une structure plus inclusive et accommodante. Ici aussi, il est question que les entreprises prennent conscience des contraintes inconsciemment imposées aux femmes et réinventent leurs modes de fonctionnement. Nous le savons, une véritable guerre des talents a éclaté sur le marché et prendre le risque de perdre un talent, cela bouleverse le bien-être de son entreprise. Si les entreprises souhaitent conserver des talents féminins, elles vont devoir innover et revoir leurs modes opératoires. Il est nécessaire d’adapter leur culture managériale, modifier les parcours professionnels en internes des femmes. Pour cela, il faut les rendre plus flexibles et aligner leurs salaires sur les mêmes niveaux que ceux des hommes. Ces enjeux sont essentiels pour pouvoir se sentir à leur place et considéré à leur juste valeur dans l’organisation. Pourquoi faire confiance à Fitch Bennett Partners ? Pour corriger avec équité ce déséquilibre, des solutions peuvent être envisagées. Pour réfléchir et adopter une posture de conseil dans la stratégie de recrutement, Fitch Bennett Partners accompagne les organisations. Notre cabinet fait quotidiennement face à ces questions sociétales et notamment la féminisation des boards. Notre accompagnement client dans leur processus de recrutement nous amène à conduire des stratégies de recrutement inclusives. Depuis toujours, la neutralité est l’une de nos valeurs dans la présentation de talents, femmes comme hommes. Et ce, sans distinction salariale à expérience équivalente et même niveau de formation.

Tendances du recrutement : un premier trimestre 2022 dynamique

Tendances du recrutement : un premier trimestre 2022 dynamique Tendances du recrutement : un premier trimestre 2022 dynamique

Ce premier trimestre confirme la dynamique du marché de l’emploi initiée en 2021. Dans ce contexte, les entreprises se confrontent à une forte concurrence sur la recherche d’hommes et de femmes de talent. Une question clé dans toutes les organisations. Fitch Bennett Partners revient sur les tendances du recrutement au premier trimestre 2022. Ce premier trimestre semble être tiré par un effet rattrapage Covid-19. En effet, de véritables besoins de transformation d’entreprise se font ressentir. Des secteurs à forte carence ont une mauvaise adaptabilité de l’offre et de la demande. Par ailleurs, il y a un fort impact des effets Papy-boomers. Nos Clients, Scale-up, PME, ETI et Private Equity dans les secteurs Hightech, Digital, Industries, FMCG, Banque – Assurance, Conseil aux entreprises et Pharma santé contribuent à cette dynamique en France comme à l’international, (Europe, Amérique du Nord et Chine). Les expertises recherchées l’ont été dans les fonctions de directions générales, commerciales, financières, RH, IT, Achats et Supply chain. Sur cette période, elles sollicitent l’acquisition et le management des talents nécessitant notre expertise, nos prestations sur mesure d’assessment de cadres dirigeants, de coaching de prise de fonction ainsi que les missions de management relais. Dans un contexte où les entreprises clientes conduisent les changements dans un monde VICA (Volatile, Incertain, Complexe et Ambigu), elles demeurent vigilantes sur les risques qu’elles encourent : sanitaires, inflation, change et pénurie de matières premières sans parler géopolitiques (Ukraine, Chine). Finalement, notre environnement permet de rester sur une note positive concernant le marché de l’emploi, pour ces prochains mois. Fort de notre expertise en executive search et coaching de cadres, de la qualité de notre réseau d’hommes et de femmes de talent et de notre rôle de conseil auprès de nos Clients et de nos Candidat(e)s, Fitch Bennett Partners est confiant pour l’avenir.

Guerre des talents : comment attirer les meilleurs candidats dans votre entreprise?

Guerre des talents : comment attirer les meilleurs candidats dans votre entreprise?

Une étude réalisée par la Dares (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques), en mars 2022, souligne que 37% des salariés travaillent dans une structure confrontée « à un manque de personnel ou à des difficultés de recrutement ». Un chiffre qui peut s’expliquer par la mutation du rapport de force lors du recrutement. En effet, le salaire à lui seul ne suffit désormais plus à attirer les candidats vers un poste. Cette difficulté à recruter et à fidéliser les candidats est particulièrement tangible dans le digital, la high-tech et les métiers commerciaux, où les offres se multiplient. Pendant la crise sanitaire, beaucoup d’entreprises ont pris conscience des enjeux liés à la numérisation et la prospection. Ces acteurs, ne souhaitant plus sous-traiter, ont massivement embauché des professionnels pour que leurs projets digitaux et numériques soient réalisés en interne. En parallèle, côté start-up, la demande n’a jamais été aussi forte. « De nombreux salariés réalisent maintenant leur activité en télétravail. Et une multitude d’entreprises ont adopté des modèles économiques reposant sur le digital pour poursuivre leurs activités et maintenir leur chiffre d’affaires», peut-on lire dans ce rapport de l’OCDE. Une véritable guerre des talents a éclaté sur le marché. Au fil de ces derniers mois donc, le rapport de force s’est inversé entre employeur et employé. Les profils à haut potentiel ont pris conscience de leur expertise et valeur ajoutée par la multiplication des débauchages. D’autre part, ils ont assimilé l’importance de travailler dans un environnement qui leur convienne. Si bien que désormais, les candidats sont de plus en plus exigeants sur leurs conditions de travail. Le salaire ne suffit plus. Pour prendre de nouvelles fonctions dans une entreprise, les candidats recherchent les meilleurs environnement et conditions de travail : une possibilité d’évolution, un manager inspirant, une bonne entente entre les collaborateurs, un bon climat social, une démarche RSE, avoir un réel sens à ses journées… Les économistes anglo-saxons ont d’ailleurs parlé de « grande démission ». Ce phénomène décrit une vague de démissions par « ennui » ou « perte d’intérêt » à son poste. Il a mené les dirigeants d’entreprises à prendre des décisions stratégiques comme modifier le profil des salariés qu’ils recrutent voire augmenter les salaires pour paraître plus attractif. Objectif : ne pas laisser partir les meilleurs talents vers la concurrence. Première piste de réflexion ? Elle s’appelle la marque-employeur (l’attractivité créée par la réputation du bien-être au sein d’une entreprise). Une option qu’ont bien compris les géants américains comme Google ou Netflix – vous avez déjà entendu parlé du babyfoot dans leurs bureaux ? – et aussi travailler sa marque employeur sur du plus long terme. L’autre possibilité, plus cohérente : faire appel à un cabinet de recrutement par approche directe. Pourquoi faire appel à un cabinet de recrutement executive search? On entend souvent parler de cabinet de recrutement par approche directe sans en percevoir la praticité et l’intérêt. Ce cabinet, expert en executive search, permet de mettre en relation entreprises et candidats, en fonction des attentes des deux parties. Cela permet d’avoir un suivi et des recommandations ajustés aux besoins de l’employeur. C’est aussi un gain de temps essentiel dans le processus de recrutement. Les équipes spécialisées proposent un service fondé sur une très bonne connaissance des expertises métiers et des marchés. Cette approche plus directe permet de conseiller et accompagner les candidats dans les différentes étapes de leur projet professionnel. Ainsi, ils présentent aux entreprises uniquement ceux qui matcheront parfaitement avec leur vision, ambitions et culture d’entreprise. __ Fitch Bennett Partners met à votre disposition toute une équipe de professionnels dans les domaines d’Executive Search, de Career Management et de Transition Management. Notre ambition : vous accompagner, sous l’impulsion d’un savoir-faire maîtrisé et d’une large connaissance du monde des affaires.

Les enjeux à 5 ans de la Nouvelle Economie et les opportunités professionnelles à saisir.

Les enjeux à 5 ans de la Nouvelle Economie et les opportunités professionnelles à saisir.

L’écosystème start-up, scale-up et licornes : 224 000 emplois devraient être créés entre 2020 et 2025 – un des premiers secteurs créateurs d’emplois privés français source (Baromètre d’impact des entreprises du French Tech Next40/120 | Roland Berger). Pour chaque emploi direct créé par les start-up, 5,2 emplois indirects voient le jour – contre une moyenne de 1,4 pour les entreprises industrielles en France. Pour 64% des start-up françaises, la difficulté de recruter des Talents est le principal obstacle à leur développement. Parmi les profils les plus recherchés, on retrouve toujours les programmeurs et développeurs, les profils commerciaux et marketing, et les analystes de la donnée – « La performance économique et sociale des start-up numériques en France «(francedigitale.org). L’attractivité d’une start-up pour recruter repose sur l’intérêt de la mission, mais également sur le package de rémunération proposé. Celle-ci repose à la fois sur une rémunération fixe et/ou variable, et sur des mécanismes d’intéressements au capital (BSPCE, actions gratuites, stock-options). Ces derniers permettent évidemment de créer un lien fort entre la start-up et son salarié, qui est financièrement intéressé à l’augmentation de la valeur de l’entreprise. Ce sont des outils essentiels pour attirer des talents qualifiés dans des entreprises innovantes qui n’ont pas nécessairement la trésorerie pour concurrencer les géants du numérique. Les outils d’intéressement des salariés au capital sont très utilisés par les start-up mais se limitent au fur et à mesure que l’entreprise se développe :  Plus de la moitié des salariés (51%) de start-up réalisant un chiffre d’affaires annuel entre 5 et 50 M€ bénéficient des bons de souscription de parts de créateur d’entreprise (BSPCE) et bons de souscription d’actions (BSA), et 68% bénéficient d’actions gratuites22. En comparaison, dans les scale-ups au chiffre d’affaires supérieur à 50M€ par an, seulement 34% des salariés bénéficient des BSPCE et BSA. Pour avoir accès au régime des BSPCE, les sociétés doivent avoir été créées depuis moins de 15 ans. Sur les 120 entreprises technologiques françaises les plus prometteuses, 48% ont été fondées depuis plus de 10 ans (et s’approchent donc de la date limite). Lorsqu’elles ne seront plus éligibles, elles devront trouver d’autres mécanismes pour recruter des talents. Faute de trouver des profils qualifiés en France, 23% des recrutements dans les start-up françaises en 2020 sont internationaux. Seulement 8% des diplômés en sciences, en technologie, en génie et en mathématiques (STEM) viennent d’Europe (60% des diplômés sont chinois ou indiens). À l’échelle européenne, la France est en 17e position en matière de “capital humain” « Homepag (europa.eu).» Aujourd’hui, les start-up françaises se distinguent au niveau international par leur capacité à penser bien souvent au-delà du simple succès commercial : En voulant avoir un impact sociétal et environnemental, et mettent en place des innovations technologiques (économie circulaire, places de marché décentralisées, intelligence artificielle, robotique…) au service de grandes causes comme l’éducation, la santé, la sécurité des personnes, la protection des données personnelles, le logement, les ressources environnementales, l’inclusion et la cohésion sociale. On recense près de 727 start-up françaises à impact, qui ont levé 4,4 Mds€ au total depuis leur création, et emploient aujourd’hui 17 802 personnes source « Bpifrance le Hub et France Digitale dévoilent le 1er Mapping des startups tricolores à Impact – France Digitale». Malgré la crise sanitaire, le chiffre d’affaires des start-up a augmenté de 15% par rapport à 2019 pour atteindre près de 7Mds€ de revenus. La majorité des start-up françaises s’attend à une croissance des revenus entre 26% et 50% pour l’année 2021 ; Les start-up françaises ont réalisé des levées records au premier semestre 2021 avec 5,14Mds€ en six mois, +90% sur un an55. Top 5 des secteurs de ces levées : Les services internet La FinTech Life Sciences Logiciels et services informatiques Cleantech La France compte aujourd’hui une vingtaine de licornes, des start-up évaluées à plus d’un milliard de dollars. En comparaison, les États-Unis recensent 280 licornes, la Chine 130 licornes et le Royaume-Uni 105. Tous les analystes s’accordent sur le fait que les start-up sont sur le point d’entrer dans une période de très forte compétition à laquelle ne survivront que celles qui sauront au plus vite se mettre en ordre de marche. Comment ? En se démarquant de leurs concurrents, en recrutant les meilleurs profils pour accélérer leur développement, en résumé en visant la surperformance et les points de croissance qui seront regardés de près par les fonds d’investissements pour trier les bons et les moins bons projets. FITCH BENNETT Partners renforce l’expertise de cet écosystème en accompagnant régulièrement ces entreprises innovantes dans leur recrutement.   Frédéric Aymonier & Bruno Frederic – Co-fondateur & associé du cabinet Fitch Bennett Partners

Pour mener à bien les grandes transformations à venir, quelles sont les décisions stratégiques prises par les dirigeants ?

Pour mener à bien les grandes transformations à venir, quelles sont les décisions stratégiques prises par les dirigeants ?

Avec la mondialisation, la concurrence de plus en plus féroce et la crise sanitaire mondiale, entreprise en particulier font face à de nouveaux défis. En ce qui concerne les entreprises, pour rester compétitives et devenir numéro 1 sur le marché, les entreprises doivent revoir certains points importants, s’adapter, ajuster leur vision et leur approche face aux changements majeurs à venir. Voici ce que nous allons aborder dans cet article : les décisions stratégiques que les dirigeants doivent prendre. Pourquoi accorder une attention particulière aux décisions stratégiques prises par les dirigeants d’entreprise ? La croissance économique des entreprises repose principalement sur la compréhension et la capacité à adapter leur offre aux exigences du marché. Néanmoins, cela nécessite l’efficacité d’une bonne gouvernance. Avec l’effet générationnel d’un important départ à la retraite observée en 2023-2025, la transmission du capital et du pouvoir à la nouvelle génération par les actionnaires deviennent une évidence. Passer à autre chose et réussir peut constituer un véritable challenge pour les deux générations et pour l’entreprise vu la très grande différence entre la nouvelle génération et celle des décennies précédentes. Pour vous épauler, nous vous proposons alors, un accompagnement, la solution parfaite pour faciliter toutes les démarches qui tournent autour de la transition. La crise sanitaire constitue aussi un accélérateur de transformation pour une grande majorité des entreprises. Les changements évoqués obligent les entreprises à casser leurs routines quotidiennes. Cela vaut pour les dirigeants et les collaborateurs, contraints à quitter leur zone de confort. À cause de cette expérience vécue en 2020, de nouvelles procédures et pratiques managériales ont été développées. Cela a métamorphosé entièrement l’économie mondiale et influence notamment l’évolution comportementale des clients potentiels de la société.Chaque entité a pu mesurer l’importance des nouvelles technologies, et aussi leurs impacts sur la gestion de toutes entreprises. Par ailleurs, maintenant, nous assistons à une accélération de la digitalisation de l’économie. Cette prise de conscience a poussé de nombreuses entités à revoir les différents investissements indispensables pour assurer la pérennité de leurs activités. D’un autre côté, cela pousse les sociétés à se questionner sur :– Les décisions à prendre face à la flambée des prix des matières premières,– L’optimisation de la chaîne d’approvisionnement,– Une délocalisation éventuelle des industries, etc. Alors, quelles décisions stratégiques les dirigeants doivent-ils prendre pour devenir le numéro 1 mondial ? 1. Organiser la gestion future Cela s’opère à travers la réorganisation de sa gouvernance. Que vous soyez une entreprise familiale, une PME, une coopérative, une SFB 120… La création d’un nouveau modèle de gouvernance reste la clé pour survivre dans le monde complexe d’aujourd’hui et de demain. Il est, par conséquent, important de choisir un modèle de gouvernance qui va non seulement permettre la transmission et l’agilité, mais aussi de concilier bien-être et performance, conditions sine qua non d’une organisation pérenne. 2. Transformer votre organisation Pour ce faire, l’entreprise devra faire évoluer son cadre organisationnel et considérer les trois leviers qui suivent :– La structure de l’entreprise,– Les outils qu’elle utilisera, et– Le savoir-faire et le savoir-être des individus qui forment l’organisation. En parvenant à combiner la structure, l’outil et l’humain, vous faites de l’entreprise un corpus de valeurs et de références propres à elle. C’est ce qui va la rendre plus ou moins unique. Vous avez besoin de conseils ? Nous restons à votre disposition. 3. L’émergence des nouveaux métiers : une opportunité à saisir Pour demeurer compétitives, les entreprises devront savoir tirer parti des opportunités liées aux évolutions présentes. Prenons un exemple concret. Lors de la révolution industrielle, nous avons été confrontés à la disparition et à l’émergence de nouveaux métiers. Aujourd’hui, nous assistons à ce type de transformation avec l’avènement de la numérisation et de la mondialisation.Ici, le véritable enjeu pour les entreprises est d’abord de prendre conscience de l’importance de ses changements, puis de les appréhender afin d’en tirer le meilleur parti. 4. Sélectionner avec soin les profils des managers à recruter La révolution numérique constitue un nouveau défi pour les managers et les collaborateurs. De plus, les innovations technologiques se multiplient et se diffusent rapidement. Pour les utiliser à bon escient et en tirer profit, il est donc nécessaire de les assimiler. Dès lors, pour la réussite des différentes phases de transition d’une entreprise, il est primordial de se tourner vers des personnes expérimentées, capables de mettre en œuvre leurs compétences rapidement. La nécessité de choisir judicieusement les nouveaux profils de managers à intégrer dans votre entreprise de fait alors de plus en plus ressentir.Ainsi, pour prouver leurs expertises et garder leurs places sur le marché, les entreprises doivent faire preuve de rapidité, de réactivité et d’agilité. On peut alors confirmer l’importance des nouvelles formes de management et des nouveaux profils à recruter. C’est ce que nous vous proposons : la recherche de managers adaptés à vos besoins et objectifs. FITCH BENNETT Partners

Nous sommes disponibles suivant vos besoins